Démarche artistique
Artiste-chercheuse et professeure à l’UQTR, Jessie-Mélissa Bossé se situe à l’intersection de l’art, de l’éducation artistique et de la philosophie. Sa recherche doctorale interdisciplinaire, financée par le FQRSC, explore les phases d’incertitude dans le processus de création, qu’elle qualifie de « valse-hésitation phénoménologique », valorisant le doute comme moteur de l’expérience artistique. Elle rejette l’idée de projets cloisonnés ou d’objectifs isolés et s’intéresse particulièrement aux éléments naturels souvent négligés, abîmés ou voilés. À travers diverses médiations — picturales, textuelles, photographiques et parfois sonores —, elle interroge les espaces de vie que notre imaginaire investit et les manières dont l’art peut en révéler la présence.
Ses créations, à la fois brutes, raffinées et réparatrices, prennent la forme de paysages d’étude où la matière et la mémoire se recomposent sans cesse. Son travail a été soutenu par plusieurs bourses du Conseil des arts et des lettres du Québec et exposé dans des galeries, centres d’artistes et musées au Québec, en Ontario, en Irlande du Nord, en France et en Bulgarie.
Dans ses projets récents, elle s’attache à faire émerger des réflexions philosophiques en créant des espaces propices à l’interrogation et à la méditation. En tant qu’artiste-chercheuse-pédagogue, elle questionne les lieux que notre imaginaire habite et leur essence, puisant dans les ombres, la poésie, les éléments naturels et les objets pour composer des œuvres où transparence et opacité se confrontent.
Chaque projet suit des protocoles de conception qu’elle partage avec le public, favorisant ainsi l’échange et la co-création. Son travail explore les hybridations entre dessin, estampe, peinture et photographie, adoptant une gestuelle à la fois brute et maîtrisée. L’expérimentation, l’accessibilité de l’art et le dialogue avec le public sont au cœur de sa pratique, qui oscille entre atelier et salle de classe, revisitant sans cesse les liens entre création et transmission.
Biographie
Originaire de Notre-Dame-du-Lac, au Témiscouata, Jessie-Mélissa Bossé vit à Québec depuis 2002. Elle est actuellement doctorante en enseignement des arts et création à l’Université Laval, où elle mène une recherche interdisciplinaire sur les liens entre art, éducation artistique et philosophie, explorant notamment les phases d’incertitude dans le processus de création.
Détentrice d’une maîtrise en arts visuels de l’Université Laval, elle développe une pratique multidisciplinaire alliant dessin, peinture, estampe et photographie. Son travail a été soutenu par plusieurs distinctions, dont des bourses du Conseil des arts et des lettres du Québec, ainsi que la mesure Première Ovation – Manif d’art.
Elle a exposé ses œuvres dans des lieux tels que la galerie Engramme, la Galerie 36, le centre d’artistes Zocalo, la John B. Aird Gallery à Toronto, le Musée du Bas-Saint-Laurent, la Maison de la culture Frontenac à Montréal et plus récemment au Collège Paul Fort à Reims, dans le cadre du projet Réfléchir l’ombre. Depuis 2008, elle a participé à plusieurs expositions collectives au Québec, en Ontario, en Irlande du Nord et en Bulgarie.
Passionnée par la collaboration et la transmission des savoirs, elle s’implique dans divers projets collectifs et poursuit une recherche qui interroge les croisements entre pratique artistique, réflexion philosophique et pédagogie. Ses œuvres figurent dans plusieurs collections privées et publiques, dont celles des Bibliothèques et Archives nationales du Québec et du Canada.
Artiste-chercheuse et professeure à l’UQTR, Jessie-Mélissa Bossé se situe à l’intersection de l’art, de l’éducation artistique et de la philosophie. Sa recherche doctorale interdisciplinaire, financée par le FQRSC, explore les phases d’incertitude dans le processus de création, qu’elle qualifie de « valse-hésitation phénoménologique », valorisant le doute comme moteur de l’expérience artistique. Elle rejette l’idée de projets cloisonnés ou d’objectifs isolés et s’intéresse particulièrement aux éléments naturels souvent négligés, abîmés ou voilés. À travers diverses médiations — picturales, textuelles, photographiques et parfois sonores —, elle interroge les espaces de vie que notre imaginaire investit et les manières dont l’art peut en révéler la présence.
Ses créations, à la fois brutes, raffinées et réparatrices, prennent la forme de paysages d’étude où la matière et la mémoire se recomposent sans cesse. Son travail a été soutenu par plusieurs bourses du Conseil des arts et des lettres du Québec et exposé dans des galeries, centres d’artistes et musées au Québec, en Ontario, en Irlande du Nord, en France et en Bulgarie.
Dans ses projets récents, elle s’attache à faire émerger des réflexions philosophiques en créant des espaces propices à l’interrogation et à la méditation. En tant qu’artiste-chercheuse-pédagogue, elle questionne les lieux que notre imaginaire habite et leur essence, puisant dans les ombres, la poésie, les éléments naturels et les objets pour composer des œuvres où transparence et opacité se confrontent.
Chaque projet suit des protocoles de conception qu’elle partage avec le public, favorisant ainsi l’échange et la co-création. Son travail explore les hybridations entre dessin, estampe, peinture et photographie, adoptant une gestuelle à la fois brute et maîtrisée. L’expérimentation, l’accessibilité de l’art et le dialogue avec le public sont au cœur de sa pratique, qui oscille entre atelier et salle de classe, revisitant sans cesse les liens entre création et transmission.
Biographie
Originaire de Notre-Dame-du-Lac, au Témiscouata, Jessie-Mélissa Bossé vit à Québec depuis 2002. Elle est actuellement doctorante en enseignement des arts et création à l’Université Laval, où elle mène une recherche interdisciplinaire sur les liens entre art, éducation artistique et philosophie, explorant notamment les phases d’incertitude dans le processus de création.
Détentrice d’une maîtrise en arts visuels de l’Université Laval, elle développe une pratique multidisciplinaire alliant dessin, peinture, estampe et photographie. Son travail a été soutenu par plusieurs distinctions, dont des bourses du Conseil des arts et des lettres du Québec, ainsi que la mesure Première Ovation – Manif d’art.
Elle a exposé ses œuvres dans des lieux tels que la galerie Engramme, la Galerie 36, le centre d’artistes Zocalo, la John B. Aird Gallery à Toronto, le Musée du Bas-Saint-Laurent, la Maison de la culture Frontenac à Montréal et plus récemment au Collège Paul Fort à Reims, dans le cadre du projet Réfléchir l’ombre. Depuis 2008, elle a participé à plusieurs expositions collectives au Québec, en Ontario, en Irlande du Nord et en Bulgarie.
Passionnée par la collaboration et la transmission des savoirs, elle s’implique dans divers projets collectifs et poursuit une recherche qui interroge les croisements entre pratique artistique, réflexion philosophique et pédagogie. Ses œuvres figurent dans plusieurs collections privées et publiques, dont celles des Bibliothèques et Archives nationales du Québec et du Canada.